Re: [rp] Deux fripouilles (+1 gratuite) pour une pastorale

Tacitus Lun 3 Nov - 5:52

Tout était calme dans ce village. Enfin, c'est l'état général au début de la journée, mais rapidement, c'est devenu le chaos. Un vacarme est venu déranger le Silencieux personnage. Tout concentré dans ses pensés, c'est en maugréant qu'il accueil un jeune homme venu le déranger dans son travail. Il n'est pas au château, mais dans une venelle juste à côté.

Qu'est-ce qu'il y fait? Il est en train de s'assurer que le bois de l'automne se rend bien dans le bas de la vallée et que l'argent remonte bien au château. C'est pas tant que ce soit une tractation difficile, mais se faire déranger pour quelque chose d'improbable, il y a de quoi être de mauvaise humeur.

Allons donc! Un carosse fou avance dans le village et dérange tout le monde. Une attaque, on les envahis! À d'autre... Pas à Counozouls!

Mais le bruit du chariot se fait entendre et, rapidement, Tacitus se déplace pour se mettre face à la grande porte du château. Un simple regard vers celle-ci et le message passe! On ferme tout! Un autre regard vers la rue et il voit enfin le nuage de poussière. Des chevaux emballés, voilà donc ce qui cause tant de grabuge.

Il se plante au beau milieu de la voie et lève les bras. D'une voix rarement entendu, tant parce qu'il ne parle pas souvent que parce que le ton qu'il utilise est autoritaire, il tante de stopper les bêtes! Fou personnage de vouloir stopper des animaux en plein élan? Non! Dresseur chevronné, il sait ce qu'il fait.

Woh! Woh! Paix!

Reste à savoir si ça va fonctionner. Nul doute que oui, mais sait-on jamais!

**Olivièr Del Casalièr** Mer 5 Nov - 7:15

Puisque j'avais réussi à prendre un peu de vacances, 'fin de temps pour revenir dans mon Lengadòc, j'en avais profité pour aller à la maison. C'est pas que Narbonne ce soit pas chez moi, mais Counozouls j'y ai de super souvenirs et puis c'est l'endroit où on se retrouve tous.

Papa et maman sont occupés à je sais pas quoi, ET JE VEUX PAS LE SAVOIR ! Suau fait sa sieste et oncle Tac s'occupe de...'bref il s'occupe. Moi, puisque j'étais tout seul, je suis allé me promener avec Régulus. Ça faisait tellement longtemps qu'on s'était pas vus que les retrouvailles ont été chaleureuses. Sûr ! Il m'a tellement sauté dessus qu'avec sa montagne de poils, qu'est-ce que j'ai eu chaud !

Bon là, comme ça fait déjà plusieurs jours que je suis là, il est un peu calmé. Tant mieux, j'avais fini par croire qu'il m'étoufferait. J'ai pas encore pensé à comment je vais lui dire que je vais pas pouvoir rester ici tout le temps. Bah, je trouverai bien.

On avait donc fait une méga balade, coursé des tas de lapins, fait peur à des oiseaux, et finalement retrouvé Avelana. Ça faisait un bout de temps qu'il habitait plus la maison et il avait trouvé une très jolie écureuil pour faire sa vie. On avait passé du temps avec eux, mais comme il fallait que je vois mon père avant la fin de la journée, j'ai abrégé les retrouvailles. On reviendrait le voir demain.

On était donc sur le retour, Régulus et moi, quand on a compris qu'un truc bizarre se passait. Tout le village avait l'air sans dessus dessous et après avoir regardé mon copain à quatre pattes, je me suis mis à courir. Pour sûr, il allait arriver avant moi mais j'avais que deux jambes, moi ! Par réflexe, je porte ma main à mon épée, sauf que là je l'avais pas prise avec moi. J'avais juste la dague que Lo Cavalièr m'a offerte. Ça va faire mince si je dois me battre. Je grince des dents en me traitant de crétin, et quand j'arrive enfin derrière Régulus qui aboie, je vois que mon oncle a déjà pris les choses en main. Finalement, c'est pas une attaque, c'est...

Euh....

Je plisse les yeux et j'approche d'où est mon oncle. Je reste quand même à une petite distance de lui et du cheval. C'est que je sais pas si la bestiole va obtempérer ou pas. Et là y a comme un truc bizarre qui m’interpelle. Y a comme qui dirait une fille en heaume improvisé qui tient les rênes et une autre qui prend l'air à la porte de leur machine infernale.

Finalement c'est peut-être une attaque. Mais si c'est le cas, va falloir que je dis à miss armure 1462 que son heaume fait pas partie de la collection de l'année.

**arthur_akap** Jeu 6 Nov - 10:52

Pour un voyage mouvementé, ce fut vraiment un voyage mouvementé, les secousses provoquées par la course folle, le hennissement des chevaux, les cris des villageois, les cris d’Ailein… Arthur qui était courageux mais pas téméraire (comme l’avait précisé un très bon article de la gazette d’Uzes) fut quelques minutes paralysés par les événements, sa main gauche était crispée dans la poignée de la porte du carrosse et il observa admiratif Couette se hisser par la fenêtre.

Arthur hésita à en faire de même mais en fut bien incapable, il regarda à travers celle-ci et aperçut un jeune garçon et un gros chien plein de poils. Soudain le carrosse fit une embardée violente, et pour cause, telle un héros de conte pour petits et grands enfant, un homme se dressa devant les chevaux l’air de dire « VOUS NE PASSEREZ PAS !!!!!!!! » il n’avait ni chapeau pointu ni bâton scintillant, mais il était tout de même très très convaincant.

Si le cheval de droite stoppa net sa course non sans un ultime soubresaut, le cheval de gauche lui ne l’entendit pas de cette oreille, devant la force des bestiaux l’attelage se brisa libérant le cheval récalcitrant qui disparu bien vite dans la nature.

Tout était il fini pour autant ? cela aurait été trop beau car le carrosse dévié par le cheval de gauche et lancé à vive allure poursuivit sa course folle en direction du portail d’entrée du domaine des Casaliers…

Pour sur la devise de couette et tuture c’était « en avant l’aventure » mais là…. C’était plutôt « bonjour les éraflures… »

À quelques secondes du choc, Arthur eu juste le temps de hurler

« Les filles protégez vous !!!!! »

Audelice Mar 11 Nov - 17:05

Le buste en dehors du carrosse , les jambes et les pieds encore dedans ; le seau sur la tête et les yeux Couette n'aurait pas vu le portail arriver vers elle si Arthur ne l avait pas prévenue
Elle eu juste le temps de rentrer la tête et de se tenir à ce qu elle pouvait ... ( accessoirement c est le bras d'Arthur qu'elle trouva ) avant que leur équipage parti à la rencontre du portail dans un fracas épouvantable et bisouta ce dernier dans un geste de tendresse et d'affection un peu violent il faut bien l 'avouer ......

Aprés le bruit la fureur et la poussière il y eu un grand silence .... dans l'habitacle on entendit une voix crier

" Tuture ???? Ailein ??? z'êtes où ? z'êtes blessés ? houuuuuu houuuuuu y a quelqu'un ?

**arthur_akap** Jeu 20 Nov - 9:02

« Levé le pied et bonne route… », dicton qui un jour serait aussi célèbre que « bardaf c’est l’embardée ».

Une rouquine avec un seau sur la tête répondant au nom de Ailein était-elle devenue le premier satellite envoyé par l’homme graviter autour de la terre… nul ne le savait… en tout cas pas Arthur.

La tête à l’envers le bras droit meurtri par l’étreinte de couette, il fut sorti de sa semi somnolence par les cris de cette dernière.

Il s’assit sur le dossier devenu siège du carrosse puisque dans le choc, le carrosse s’était finalement couché sur le flanc. Il regarda hébété quelques instants autour de lui, couette bougeait aussi et visiblement sans bobo trop apparent.

Ça va tu n’as mal nulle part ?? attends je vais t’aider à sortir

Arthur fit la courte échelle à Couette et la hissa hors du carrosse, il en fit de même. Une fois sur le plancher des vaches il constata les dégâts… le portail des Casalier avait morflé tout comme le carrosse…le gamin n’était pas très fier. Mais bon les choses matérielles étant ce qu’elles sont très vite Arthur immita couette dans sa recherche de l’ainée du groupe

Ailllleinnnnn ou es tu ????

Ailein Lun 24 Nov - 9:19

Imaginez, une belle journée ensoleillée, un voyage tranquille entre amis dans un magnifique carrosse tiré par deux chevaux non moins magnifiques et tranquilles, et vous avez comme une envie soudaine de voler, allez savoir pourquoi, de se prendre pour un moineau, sauf que bah vous n'avez rien d'un moineau donc vous finissez tel le capitaine Orville, albatros fort célèbre.

SPLOUFFFF

Bruit accompagnant le nez d'une rouquine qui s'écrase lamentablement dans un tas de feuilles mortes laissées là, fort heureusement vous le direz, par le jardinier de ces lieux.

mfpgr gnepfmmmgrlplefpmf

Réponse du tas de feuille, d'où dépasse un fessier couvert d'un seau à une couette.

Croa!

Affirmation du batracien trônant fièrement sur le dit seau, bien content de sa liberté retrouvée.

Audelice Mer 26 Nov - 4:43

Les enfants sortent du carrosse entiers en tout cas pourvus de tous leurs membres en état de fonctionner
la chance sourit aux innocents parait bah Couette et tuture ils sont trés trés innocents et trés trés chanceux , à part quelques bleux et bobos rien de grave
Debout sur le côté du carrosse , ils cherchent Ailein des yeux ...
"Regarde tuture la grenouille est entiere elle aussi .... ouf hein pauvre bête ! ahh le seau aussi tant mieux ca peut servir par contre je vois pas Ailein ... Fais moi penser quand on l aura retrouver de lui faire passer un sale quart d'heure merci .. "

S'imaginant dans le rôle de la " soeur Anne" Couette scrute les environs "Couette mon amie Couette ne vois tu rien venir ? "
je ne vois que le portail abimé les chevaux enfin calmés , le carrosse cassé et un tas de feuilles qui bougent "

Un tas de feuilles qui bougent ? ...

Elle est lààààààààààààà montre du doigt le tas de feuilles ou n'émerge que le fondement de sa soeur le seau posé dessus la grenouille sur le seau . Avec l'aide d'Arthur descend du carrosse et court vers sa soeur
Mandarine tu vas bien ?

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